27.1.15

Au fond était la glaise !… et Merci de votre fidélité !

Cela fait bientôt six mois que ce blog est né !
Une soixantaine d'articles ont déjà dépeint ce qu'était la Briqueterie d'antan !
On a fait revivre celui qui l'a démarée ?
Comment fonctionnait-elle ?
Qui l'a visitée ?
Qui furent victimes d'un bombardement en 1943 ?
Quand les Briqu'teux se mettaient-ils en fête ?
Comment venait St-Nicolas ?
etc, etcetera !

Il y a encore tant à raconter ! Le nombre de visites, qui va grandissant, démontre tout l'intérêt que vous portez à cette briqueterie qui est un peu la nôtre, à nous tous, qui y avons gagné notre croute tout en y laissant quelques gouttes de sueur après un travail que nous avions à coeur de faire correctement.

Certes, tout n'a pas été évoqué ! La mémoire collective fait-elle défaut ?  Les vieilles photos ont-elles disparues ?  Nous ne désespérons pas que l'un ou l'autre ancien nous fassent un petit message en disant : "J'ai retrouvé ceci…."!

Ceci dit, poursuivons notre petit bonhomme de chemin à la rencontre des hommes, de vrais Briqu'teux, qui ont fabriqué les briques de nos maisons  tout en transmettant leur savoir-faire de génération en génération.

Il est logique de commencer par la "terrasse" !   C'est le nom populaire utilisé par les briquetiers pour désigner les "carrières d'extraction de l'argile".   Mais dans l'opinion publique, il y a hélas un mot plus péjoratif en citant : "les trous de briqueteries".  Nous éviterons de les réécrire. D'autant plus, que ces… trous de briqueterie se sont transformés en "Réserve Ornithologique Naturelle" qui fait l'une des plus grandes fiertés de la région.

Voici une photo exceptionnelle :  deux excavateurs extrayant simultanément l'argile !  La demande en briques était tellemnt forte… que la matière première ne pouvait pas manquer !


Demain : d'autres photos des "terrasses" !   
Ces fonds de carrière en "dents de scie", cette plage oblique de grattage, ces godets qui s'enfoncent  ont toujours fasciné les amateurs de photo. Il faut admettre que ces lieux tranquilles, où seul le tintamarre de la machine, dérangeait le silence… tandis que les petits trains allaient et venaient transportant l'indispensable matière première !   La glaise ! 

1 commentaire:

  1. Bonjour Mr De Witte,
    Je réalise actuellement une étude sur le Bizet et je lis avec grand intérêt votre blog sur la briqueterie.
    Serait-il possible d'avoir vos coordonnées pour éventuellement vous poser quelques questions?
    Je vous remercie déjà pour ce témoignage que vous nous offrez!

    Coline Vannoorbeeck

    RépondreSupprimer